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Quels sont les critères de choix d’un onduleur ?

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L’onduleur est également fourni avec un logiciel de fermeture automatique : lors d’une panne de secteur ce logiciel (installé sur l’ordinateur relié à l’onduleur) fermera automatiquement tous les programmes après avoir effectué les sauvegardes nécessaires.

 Quels sont les critères de choix d’un onduleur ?

La première fonction d’un onduleur est sa capacité à fournir la puissance nécessaire à un ordinateur en cas de coupure de courant. Les constructeurs ne donnent pas la puissance maximale de leurs produits en watts, mais en Kilo Volts Ampères (KVA).
Ce facteur de puissance étant toujours inférieur à 1, la puissance réelle délivrée sera donc toujours inférieure à la valeur calculée en multipliant simplement la tension par l’intensité. Il n’est pas simple de mesurer cet angle de déphasage qui dépend des matériels connectés. Il pourra être pratiquement négligé sur des matériels très haut de gamme (serveurs, commutateurs, etc.) qui possèdent des alimentations de bonne qualité (Power Factor Corrected), mais pas avec des ordinateurs de bureau ou d’autres matériels qui présentent des déphasages importants. Cela signifie qu’en pratique, il faut diviser par 1,5 la valeur en KVA pour obtenir la valeur en watts utilisables. Grossièrement, on ne dépassera pas les 2000 W sur un onduleur de 3 KVA. Une surchauffe ferait disjoncter l’onduleur, ce qui n’est évidemment pas le but recherché.

Le deuxième critère est l’autonomie du système. Celle-ci est liée à la capacité des batteries, au rendement de l’onduleur lui-même, et bien évidemment à la puissance réclamée pendant la coupure. Une longue durée est évidemment préférable puisqu’elle laisse le temps aux utilisateurs, lors de coupures de courant de courte durée, de sauvegarder le travail en cours sans avoir à éteindre les serveurs.

D’autres éléments sont également à prendre en compte comme la vitesse de recharge des batteries. Si les coupures de courant sont nombreuses, il faut que le temps de charge soit le plus court possible. Ensuite, il faut vérifier s’il est possible, ou non, d’échanger les batteries à chaud. Leur durée de vie n’étant pas infinie, il est pratique de pouvoir effectuer les échanges sans débrancher l’onduleur, donc sans éteindre les matériels qui y sont connectés. Enfin, il est important de savoir s’il est possible d’ajouter des batteries supplémentaires pour augmenter l’autonomie. Comme nous l’avons vu plus haut, il faut aussi considérer la qualité de la tension délivrée. Celle-ci est mesurée par la distorsion harmonique. Sa valeur doit être la plus faible possible, et en principe inférieure à 5%. Il faut également vérifier quelle est la plage de tension acceptée par l’onduleur. Un onduleur qui est encore capable de fonctionner avec une tension d’entrée de 140 volts sera meilleur que celui qui commute sur ses batteries dès 170 volts par exemple.
Dernier critère à prendre en compte: la taille de l’onduleur. Beaucoup de modèles peuvent être placés en rack 19 pouces ce qui intéressera les entreprises ayant des problèmes d’espace.